Préparer son intervention publique à Poitiers
- Prise de parole en public : 75 % de la population ressent un certain degré de peur pour parler en public
- Prise de parole en public
- Prise de parole en public : mon expérience
- La peur vient du manque de préparation !
- Prise de parole en public • Mon Programme
- Se connaître, c'est important, je vous explique :
- Maîtriser son image
- L'intervention devant un public demande une autre maîtrise : celle de l'image
- Apprendre sa voix et sa posture. Comment ?
- Une méthode rapide et efficace
- Résumé :
- Réservez votre accompagnement dès maintenant
Prise de parole en public : 75 % de la population ressent un certain degré de peur pour parler en public
Prendre la parole devant une assemblée – si petite soit-elle – est toujours vecteur de stress. Même les artistes les plus aguerris ont toujours une certaine appréhension avant de passer sous les projecteurs.
Prise de parole en public
Mon accompagnement
Faire bonne impression semble essentiel ! Mais dites-vous bien que si vous devez prendre la parole en public, c’est parce que vous avez un message à faire passer ! Pendant toute cette étape qui vous expose aux autres, n’oubliez jamais que vous n’êtes que le vecteur qui communiquera votre message.
Voilà donc les deux angles sur lesquels je vous propose de vous accompagner :
Un travail sur l’expression orale
Votre diction, votre respiration, votre débit et votre posture
Un travail sur le fond
C’est à dire la rédaction de votre message, la hiérarchie des idées.
La durée de mon accompagnement dépendra de votre maturité dans chacun de ces domaines ainsi que de votre ambition.
Prise de parole en public : mon expérience
Adolescent, j’ai passé ma scolarité au Lycée Pilote Innovant du Parc du Futuroscope, et dans ce cadre, nous avions un projet de fin d’étude à présenter. J’ai organisé deux conférences nationales.
Une conférence nationale sur le SIDA
Nous étions en 1987 et le SIDA commençait à émerger comme nouveau fléau. Il faisait peur et j’avais envie de savoir de quoi nous parlions et clarifier la situation. J’ai donc contacté et invité les grands professeurs de l’époque, et organisé ma conférence pour qu’elle soit un événement national. Après m’être occupé de l’articulation des interventions, j’ai dépêché la presse et organisé un micro-trottoir vidéo pour sonder l’opinion et faire une présentation introductive. Puis, il a fallu que je prenne les choses en main pour présenter mon événement devant des milliers de personnes (mon intervention était aussi retransmise en direct dans le journal régional de France 3).
Conférence nationale sur le Stress
L’année suivante, mon deuxième événement « prise de parole en public » était aussi un sujet d’actualité, d’une moindre importance, mais nous avons rempli la salle de conférence du 3IP, ce qui n’était pas rien à l’époque car les peintures étaient encore fraîches.
C’est donc dans le contexte de mes études que j’ai mis le pied à l’étrier. J’ai été contraint plus ou moins malgré moi de prendre la parole en public pour la première fois, et ce n’était là que le début !
J’ai ensuite fait de la radio et organisé de nombreux autres événements, tables rondes, conférences, animation de débats. J’ai même organisé des concerts à Paris.
La peur vient du manque de préparation !
Pourquoi ?
• Il ne s’agit pas de faire le show mais de présenter ce que l’on a mis du temps à préparer.
• Si vous êtes prêts, une réalité s’impose alors et cela devrait même ressenti comme une volonté pressante : présenter aux autres le fruit de son travail, de ses recherches, ses idées… Il est donc nécessaire d’être convaincu par le message que l’on doit véhiculer.
• Qui d’autre, à part vous – qui venez de le préparer – maîtrisez mieux le sujet ? Vous venez d’y passer du temps, des semaines, des mois ou des années parfois ! Vous en êtes imprégné !
La prise de parole en public se présente donc une évidence ! Si vous avez bien fait les choses, alors vous êtes prêts. La préparation est un cheminement qui vous mènera au moment de l’expression de façon naturelle.
Vous l’avez compris, le temps que l’on consacre à sa préparation est la clé de la réussite. Aussi deviendra-t-il compliqué d’être à l’aise si l’on ne se donne pas un minimum de temps de préparation. Il faut prendre le temps de s’imprégner de son texte, de sa présentation. Cela ne peut venir qu’à force de répétition…
Donc pas de miracle ! Si vous venez me voir trois jours avant votre présentation, j’aurais du mal à faire un miracle. La seule chose que je pourrais faire avec vous, c’est de structurer votre discours, remettre les idées en places, dégager un plan, et prendre le peu de temps qu’il nous reste à étudier votre présentation « dans les conditions du réel ».
Prise de parole en public • Mon Programme
Prise de parole en public : Se connaître
Se connaître, c’est important, je vous explique :
Mon métier m’a imposé d’apprendre à être à l’aise. Ce processus a nécessité un temps de préparation relativement conséquent. Cet apprentissage m’a d’abord demandé une période d’introspection. Une période durant laquelle j’ai dû apprendre à me connaître, à prendre du recul sur moi-même. J’ai dû apprendre à connaître ma voix, mes tics de langage, mon débit, ma façon de m’exprimer… Puis il a fallu que je corrige tout ce qui n’allait pas. Que je réapprenne à parler en quelques sortes. Mais aussi à écrire mes textes d’une autre façon. D’une façon qui allait me faciliter la lecture. C’est un peu le secret des journalistes radio – tv :
• Apprendre à écrire « comme on parle ».
Ce sont ces techniques que je souhaite faire passer dans mon accompagnement. On ne les apprend ni à l’école, ni à la fac. Cette façon de rédiger « comme si l’on s’adressait à quelqu’un » vous permet de franchir 80% du chemin vers l’expression orale.
Apprivoiser sa voix
C’est un constat qui m’amuse souvent chez mes étudiants : le moment où ils découvrent de leur voix !
En général la première réflexion c’est « c’est ma voix ça ?!? «
Et oui, c’est toujours intéressant de faire découvrir sa voix à quelqu’un. Avec les nouvelles technologies, la voix est de plus en plus accessible (podcast, messages vocaux que l’on s’échange etc…).
La voix que l’on entend « à l’intérieur de soi » n’a rien à voir avec ce qu’entendent vos interlocuteurs. Il faut donc savoir s’écouter et s’entendre en se mettant à la place de l’auditeur (du spectateur).
Maîtriser son image
L’intervention devant un public demande une autre maîtrise : celle de l’image
Vous en avez eu un aperçu en regardant vos photos de vacances par exemple : c’est l’image de soi. L’image que l’on projette aux autres.
L’image semble poser moins de problèmes car il est possible de se regarder dans un miroir, dans une vitrine en passant devant un magasin… A une nuance près : nous ne nous voyons pas en 3D, comme les autres nous voient. Nous ne voyons pas ce qui se passe derrière, au dessus et sur les côtés.
Si vous avez une calvitie naissante ou si vous êtes enrobé du popotin, ce sont en général les autres qui vous le font remarquer. Il y a des choses de nous-même que nous ne voyons pas (et que parfois nous ne préférons pas voir !). Nous avons besoin des autres pour nous connaître… Mais c’est un autre sujet ! :o)
C’est donc là un des autres aspects de l’accompagnement que je vous propose :
• Apprendre à vous connaître un peu mieux
• Maîtriser votre voix, votre diction, votre respiration
• Maîtriser votre apparence, votre posture, vos mouvements
Apprendre sa voix et sa posture. Comment ?
Pour cela, nous faisons des exercices de prise de voix et des captations vidéos. Vous êtes ensuite invités à vous écouter et à vous regarder… Nous ferons ensuite le décryptage, comme le ferait une équipe sportive après un match.
Une méthode rapide et efficace
J’ai formé nombre de journalistes et d’animateurs dans ma vie. Je sais que ma méthode fonctionne et qu’elle donne de bons résultats. Elle est rapide, car nous allons à l’essentiel.
C’est par ailleurs pour cette raison que je vous propose aujourd’hui d’en profiter. Vous allez voir, les choses qui vous inquiètent vont devenir très simples !
Surtout, si vous êtes tentés par cette expérience, n’hésitez pas. Si je ne peux rien faire pour vous, je vous le direz ! Je ne cherche pas à vider votre portefeuille, mais à vous être utile en vous communicant une méthode qui vous aidera aujourd’hui et à l’avenir.
Ce qui m’intéresse, c’est de vous transformer, de vous voir plus à l’aise et plus sûr(e) de vous ! Plus que les honoraires, c’est là que se trouve ma réelle satisfaction. Et nous ferons tout pour atteindre cet objectif !
Résumé :
Être à l’aise pour une intervention publique tient donc à trois aspects majeurs :
- Avoir un discours organisé et clair (facile à retenir)
- Connaître ses capacités orales (diction, rythme, respiration, débit, volume…)
- Connaître sa stature (sa façon de se tenir et de se mouvoir)
Quelques références :
- Magnetic Speaking : “7 Unbelievable “Fear of Public Speaking” Statistics”
- LinkedIn : “The Latest Public Speaking Statistics: 2021 In Review”
Le savez-vous ?
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